Bien faire et le faire savoir.(Manufrance)

Dans le N° 31 je remarque la lettre de Colette L en page 15 ainsi que celle de la page 18 qui désigne clairement sa congrégation ainsi que le montant de la transaction Ces deux exmples et bien d'autres je pense, sont des pierres dans le jardin de la tripartitite.Pourquoi ne feraient-ils pas jurisprudence?
En faire une liste compléte serait peut-être l'occasion pour certains de changer d' avis sur ce sujet, de relativiser les consignes qu'ils recevoivent de la même tripartite...
pour la tripartite d'adopter une attitude plus compréhensive etque toute armée divisée doit perdre la bataille. :

Bien vu !
Mais le problème, est que parler des transactions en cours risque de les faire échouer...
La grande muette, c'est aussi l'Église, prnicipalement sur les questions de morale interne et de pognon.
Un autre problème, que les syndicalistes connaissent bien, c'est que certains adhérents ne sont solidaires que dans la difficulté. Problème résolu par le syndicat ? plus de solidarité ! Voir l'éditorial du N° 31 sur cette question...
Souvent les transactions contiennent une clause de confidentialité... il faut être bien naïf pour en faire cas ! Mais se greffe un autre problème, bien hérité de la culture ecclésiastique, celui de la fiscalité. Devrais-je payer des impôts sur le résultat d'une transaction ? Je ne suis pas fiscaliste, mais je sais que le système fiscal français incite au camouflage.
Après s'être "dérobés" au regard de la société lorsqu'ils ont quitté la robe, certains AMC continue à se dérober... à vivre dans un certain camouflage de leur vie passée, de leurs relations avec leur ex. C'est aussi très humain. Et puis il y a la famille, les enfants... Et ça aussi, nos adversaires le savent, et ils en jouent allègrement.
Ne nous faisons plus aucune illusion, ils ne plieront que sous la pression de la justice des hommes et des médias. Il faut y croire, encore plus qu'aux prmesses qu'ils nous ont faites lorsque nous étions jeunes.

Bien sûr ,on n'apprend pas à un vieux singe à faire des grimaces....et on ne va pas étaler en public ce qui est en cours de tractation...ni passer outre la confidentialité.Il n'en reste pas moins que l'exemple peut influencer les comportements.La vie de tous les jours nous le démontre.C'est bien d'ailleurs le pouvoir de la jurisprudence..."ce qui a été fait dans telle situation identique,doit aussi être appliqué dans cette situation précise".
Je rêve et j'imagine Notre présidente au cours d'une réunion ( avec l'accent que nous lui connaissons) sortant de son dossier une liste exhaustive de tous les cas solutionnés favorablement pour des AMC et qui vont à l'encontre des soi-disant régles de conduite que l'on veut imposer à tous.
Et en conclusion "voici ceux ceux qui sont en cours de négociation et dont je vous livrerai l'issu, à notre prochaine rencontre".
Qui peut m'assurer que cet argumentaire ne pèse que 10 grammes ? ! et n'est pas apte à mettre la division chez l'ennemi ?
D'ailleurs n'était-ce pas l'intention des deux lettres publiées dans le N° 31 ?

Tu as tout compris. Et puisque tu cites le bulletin d'information de l'APRC, il y a eu récemment un éditorial qui indique clairement que certains adhérents qui ont réussi une transaction, avec les outils et les moyens de l'Association, retrouvent maintenant la trouille ecclésiastique et se "dérobent" une nouvelle fois pour ne plus faire parler d'eux !
Belle solidarité !
Tous ceux qui ont des engagements (syndicaux en particulier) connaissent bien ce type de réaction.